Le chou-fleur du psy

(20/11-2014) – J’aime cuisiner. La plupart du temps, je suis celui qui cuisine et j’aime faire des expériences dans ma cuisine. Le seul problème de mes expériences, c’est que c’est bon, et que vu que je ne note pas la recette, je suis généralement incapable de la reproduire.

Ma femme ne fait que me répéter que je devrais noter ces recettes pour les refaire, mais quand je suis dans la cuisine, je ne pense pas trop à prendre des notes.

J’ai posté cette photo sur Facebook, et elle a reçu pas mal de commentaires. Surtout des blagues à propos de ma qualité de psy et si c’était ma façon de travailler avec les patients et de plonger dans leur cerveau.

On m’a même demandé la recette. Recette que j’ai donc donnée. Et je me suis dit que cette recette pourrait intéresser certains de mes lecteurs.

C’est simple à faire, ça prend une petite heure (la plupart du temps, c’est dans le four, donc), et c’est atrocement bon!

Voici donc la recette du chou-fleur du psy :

– 1 cuiller à soupe d’huile.
– 1 chou-fleur.
– 1½ tasse de yaourt grec.
– Jus d’un citron.
– 2 cuillers à soupe de chili en poudre.
– 1 cuiller à soupe de cumin moulu.
– 1 cuiller à soupe d’ail pressé.
– 1 cuiller à café de carry.
– 2 cuillers à café de sel.
– 1 cuiller à café de poivre noir.

– Préchauffer le four à 200 – 225 degrés. Huiler un papier cuisson mettre sur une plaque.

– Nettoyer la base du chou-fleur, enlever le tronc, les feuilles, etc.

– Dans un saladier mélanger le yaourt, les épices, le sel, poivre.

– Tremper le chou-fleur, tête en bas, dans le saladier. Bien répartir le yaourt de façon uniforme sur tout le chou-fleur (petit truc: le reste de la marinade peut être conservée trois jours au réfrigérateur et peut être utilisée avec du poisson, de la viande ou même des légumes)

– Placer le chou-fleur sur le papier cuisson et mettre au four jusqu’à ce que la surface du chou-fleur devienne sèche et légèrement marron (30 à 40 minutes)

– Laisser le chou-fleur refroidir une dizaine de minutes avant de le couper en morceaux.

Et après, y’a plus qu’à… Bon ap! (Cyril Malka)

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