(26/12-2014) – J’ai été très agréablement surpris de la réception qui a été faite à mon premier tome de Croire en Demain (Boule de flipper). Je ne m’y attendais vraiment pas. Au départ, je m’attendais à ce que ma femme, ma tante préférée et deux ou trois amis le lisent pour me faire plaisir.
Au contraire, j’ai reçu une foule d’encouragement et de gens qui me demandaient: Ben… hey? Y’a pas tout, là! Et la suite, alors?
Je comptais écrire de-ci de-là, sortir peut-être le deuxième tome l’année prochaine, ou celle d’après.
J’ai vite changé d’idée. Je me suis activé et j’ai écrit le tome deux. La deuxième partie de Croire en demain s’appelle « Descente aux enfers » et traite du Cyril ado.
Au départ, il était question d’écrire trois jours par semaine, mais je n’ai pas pu le faire. Certains passages étaient difficiles à écrire, donc il y a eu des semaines sans écriture.
Comme, dans ce tome, il est question de criminalité, j’ai non seulement changé les noms de tout le monde (sauf le mien) comme dans le premier tome, mais j’ai aussi déplacé certaines scènes et utilisé deux noms de villes qui n’existent pas… Enfin, je ne crois pas. Si par hasard ces villes existaient, ce ne serait que pur hasard.
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Je me base sur les évaluations pour voir si j’écris le troisième et dernier volet de cette histoire, donc, votre avis est important. N’hésitez pas à mettre une évaluation et des étoiles sur amazon lorsque vous avez fini l’ouvrage, que je voie si cela devient une trilogie ou si je m’arrête là.
Tenez, je vous mets un petit passage de Descente aux enfers:
– Au revoir, dit-il à Orchevel.
– Ouais, c’est ça, lui répond-il en lui tendant une enveloppe qui contient la dernière paye de Cyril.
L’enveloppe est bizarrement fine. Cyril, n’ayant pas 18 ans, n’a pas de compte en banque ou de chéquier et jusqu’ici, Orchevel lui a remis sa paye comptant.
Cyril ouvre l’enveloppe qui contient un chèque :
– Vous pouvez me donner de l’argent comptant, comme d’habitude, s’il vous plaît ?
Orchevel le regarde d’un air faussement étonné :
– Non, hors de question. Je te dois ta paye. Voici ta paye. Au revoir.
– Mais, il me faut de l’argent comptant, sinon je ne peux pas l’utiliser.
– Ça, ce n’est pas mon problème. Moi, je te dois ta paye, un point c’est tout.
– Oui, mais je ne peux rien faire d’un chèque. Pouvez-vous me donner de l’argent comptant.
Orchevel sourit :
– Non, je ne peux pas te donner de l’argent comptant. Je l’ai fait jusqu’ici, car je suis bien bon. Mais en fait, je n’ai même pas le droit de te donner de l’argent comptant. C’est interdit. Maintenant, tu as ta paye, casse-toi.
Cyril, la rage au cœur et les larmes aux yeux fixe Orchevel un instant. Celui-ci, assis à son bureau, écrit sur un grand cahier et l’ignore totalement.
Cyril sort.
Il est 19 h 10. Derrière lui, les vitrines du magasin. Pas un sou en poche, comme d’habitude et le jambon de Madé est loin. Lentement, il se dirige vers son appartement.
Pensif. (Cyril Malka)